Quelle est la diffèrence entre un QR Code et un Fash Code ?
C’est le 26 juin 1974 que le code barre classique est né, scanné pour la toute première fois dans l’Ohio.
Le code UPC ou "EAN" en Europe (voir ci-contre) est utilisé plus de 10 milliards de fois par jour.
Aujourd’hui, le code à barres a évolué vers des versions 2D (2 dimensions) et lisibles par des caméras plutôt que par des rayons laser.
Ses avantages sont de pouvoir stocker plus d’informations, d’ajouter des caractères spéciaux, d’être lisibles lorsque l’image est partiellement détruite, et enfin de pouvoir être lus par un téléphone mobile équipé d’un logiciel spécial.
Le message peut être un prix, une adresse internet, un numéro de téléphone, un texte libre et même un positionnement GPS.
Sont apparus successivement sur le marché mondial :
De par leur taille (de 2cm² à plusieurs m²), les codes 2D, peuvent être édités, imprimés, diffusés sur n’importe quel type de support tangible : presse papier, affiche, écran (TV, cinéma, ordinateur, mobile), sur l’emballage d’un produit, un monument dans la rue, à côté d’un tableau dans un musée, et même sur des aliments, la liste est infinie.
Les codes 2D se sont rapidement démocratisés dès 2004 au Japon, en Corée du Sud et plus récemment aux Philippines. L’Europe et les Etats-Unis sont également le théâtre de nombreuses expérimentations.
Le format des QRCodes (Asie) et Datamatrix (USA) sont libres.
Les Flashcodes "français" (Variante de Datamatrix) sont cryptés et propriétaires. Ils ne peuvent être décodés qu’à partir de logiciels fournis par la société MobileTag.
Flashcode est une marque de l'Association Française du Multimédia Mobile (AFFM), association où siègent les principaux opérateurs de téléphonie mobile en France.
Flashcodes désigne des codes-barres 2D de type Datamatrix cryptés, destinés à être lus par des téléphones compatibles disposant du lecteur Flashcode développé par la société MobileTag.
Ce choix fait par les opérateurs mobiles au sein de l’AFMM est une démarche unique sur les codes-barres 2D dans le monde, et démontre la volonté des opérateurs mobiles français de monopoliser ce nouvel usage.
Cette position conduit à des situations grotesques
Un visiteur étranger habitué à scanner des QRCodes ailleurs dans le monde ne pourrait pas lire les Flashcodes en France sans être obligé de télécharger le décodeur ad’ hoc !
Un exposant ou un site touristique devrait développer ses campagnes en double ! Une pour les Français et une pour les visiteurs internationaux…
Le QRCode devient donc de par sa popularité et le nombre d’applications pratiques déjà existantes, le standard international le plus utilisé au monde.
Pour en savoir plus, un excellent article sur : http://philippe.corbes.free.fr/codebarre/codebar/index.html
Un code QR peut être numérisé (« scanné ») par les téléphones mobiles intelligents sert à faire la transition d’une publicité hors-ligne (par exemple, dans un magazine ou sur une carte d’affaires) vers un site web ou autres fonctionnalités telles que SMS, V-Cards, etc.
Une critique revient souvent par rapport à leur apparence robotique et ennuyante étant donné leurs couleurs noir et blanc.
Heureusement, un code QR est malléable et peut être travaillé graphiquement de plusieurs façons, sans en affecter son habilitée de numérisation. La vérité est que les codes QR n’ont plus à ressembler à une planche de jeu d’échec. Nous entrons dans une nouvelle ère de codes QR très design pouvant être agencés graphiquement à votre prochaine campagne publicitaire.
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